Fraîche à croquer, la collection d'assiettes en trompe-l'œil de l'artiste new-yorkais, John Derian, évoque les images naturalistes du 18e siècle.
Pour illustrer le décor de sa nouvelle collection d'art de la table, l'artiste John Derian a fait le choix de confier aux artisans de ses ateliers les gravures botaniques et les images d'Epinal des siècles passés, là où l'esprit en trompe-l'œil des barbotines et des photos en sépia des débuts du 7e Art devenaient intemporelles. Sans bordure, ni fioritures, l'image s'y étale sur toute la céramique pour rendre l'effet visuel encore plus réaliste.
L'art du trompe-l'oeil de John Derian
Fabriquée en petite série, la gamme est diffusée dans ses boutiques de Manhattan et dans quelques concept stores européens, dont Astier de Villatte, à Paris. Les images d'archives, qui nourrissent nos rêves d'évasion et de festins gourmands, sont ainsi imprimées sur toutes sortes d'objets : assiettes, coupelles, plats de présentation, mugs, soucoupes, bols, plateaux et la technique picturale fait parfaitement illusion.
Des services en toute naturalité
Cet été, on donne du relief à nos tables en oubliant la vaisselle blanche pour dresser des buffets pleins de gaité où les fruits et les légumes, imités avec brio, épousent nos menus. Pomme, pastèque, melon, citron, orange, poire, pamplemousse, ce service est loin de représenter une tendance éphémère et futile. Il signe le retour à l'essentiel des instants partagés pour anticiper une saison estivale qui misera sur les plaisirs simples.
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