Pâques des palaces parisiens : la tentation chocolatée des pâtissiers

Le chef chocolatier Johan Giacchetti a puisé son inspiration dans les traits de Socrate, la mascotte de l'hôtel, pour créer son œuf de Pâques. Tendre comme une ganache à la crème et doux comme du praliné noisette au riz torréfié, celui-ci est alangui dans un fauteuil, en forme de cocon douillet. 65 €. www.oetkercollection.com

En forme de cloche de 900g et proposée avec un maillet, la création pascale de Matthieu Carlin contient un mélange de fruits secs. Et pour que la fête soit complète, l’heureux gourmand qui y découvrira aussi un œuf en chocolat praliné, recouvert de feuilles d’or, se verra offrir un tea time au Jardin d’Hiver de l’hôtel. 80 €. www.rosewoodhotels.com

Dans son palace des Années Folles, Quentin Lechat nous emmène en voyage avec Moaï, sa sculpture qui évoque celles de l'île de Pâques. Un objet de haute gourmandise, imaginé comme une variation autour du chocolat noir et au lait. Il est garni d’un praliné à la fleur de sel et parsemé de pistache caramélisée qui lui apporte sa touche croquante. 70 €. www.raffles.com

Opulence est la signature des chefs Angelo Musa et Elisabeth Hot. Travaillée comme une pièce Haute Couture, son association de saveurs rend hommage à la richesse du cacao en alliant la subtilité du chocolat noir vénézuélien à la douceur du chocolat au lait de Madagascar. Une maîtrise parfaite, garnie de noisettes caramélisées et d'œufs au praliné amande-noisette. 95 €. www.dorchestercollection.com

Débordant d'imagination, Maxence Barbot dévoile son Oeuf-Écorce, une création plus vraie que nature. Réalisé avec des textures brutes, ses coques, qui enferment en leur cœur une tablette de riz soufflé, sont agrémentées de praliné pistache d'un côté et d'un praliné noisette de l'autre. Le tout, ponctuée touches de caramel vanillé. 118 €. www.shangrilaparis.com