Chez Régis Botta, l'épure fonctionnelle, le travail des nuances et des tonalités vont de paire avec la géométrisation d'une lumière, forcément évanescente.
Dans un domaine, où beaucoup a été fait, innover devient le principal challenge des créateurs contemporains. C'est le pari de cet ancien élève issu des bancs de l’École d’Architecture de Paris Belleville. Ses particularités à lui ? Rendre complémentaires l’épure fonctionnelle en misant sur la géométrisation de la lumière, liée à la vision optique, qu'il considère comme une masse à sculpter.
Un carnet d'adresses prestigieux
Ses références ? Parmi les plus récentes, le flagship Mauboussin de la rue de la Paix, à Paris, le restaurant étoilé Mavrommatis, Jay & Joy, première crèmerie entièrement vegan, des luminaires pour les éditions Ozone et des espaces publics de la tour Emblem, à La Défense. Sans oublier les concours auxquels il a participé, pour Équip Hôtel, la Fédération Française de Football ou le Musée de L’Ecriture Mondiale.
La mise en scène des espaces
C'est sur ces chantiers qu'il a pu expérimenter un travail sur les nuances et les tonalités, en utilisant des matériaux naturels et authentiques. Une marque de fabrique désormais reconnue, y compris à l'international. Il la déploie sur l'ensemble de ses projets, à usage commercial ou résidentiel, surtout depuis qu'il s'intéresse de près à la customisation des appartements…
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