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Investissement locatif : les avantages de l'assurance loyers impayés

Vincent Cuzon
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Facultative, l’assurance de loyers impayés, ou GLI, n’en est pas moins essentielle pour sécuriser votre investissement locatif. Faisons le point sur le fonctionnement et les nombreux atouts de la Garantie des Loyers Impayés.  

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Garantie loyers impayés
En plus des loyers, la GLI peut couvrir différents risques locatifs. ©Getty Images
Sommaire

Qu’est-ce que la GLI et que couvre-t-elle ?

La GLI, ou Garantie des Loyers Impayés, est une assurance optionnelle à laquelle peut souscrire le ou la propriétaire d’un bien mis en location pour se protéger contre les impayés et les retards de paiement des loyers du locataire. C’est donc une assurance indispensable pour sécuriser votre investissement dans l’immobilier locatif. La Garantie des Loyers Impayés (GLI) peut être souscrite auprès de l’assureur de votre choix. Moyennant une cotisation, l'assureur s'engage à vous indemniser pendant une période donnée, généralement comprise entre 12 et 24 mois, si votre locataire cesse de payer son loyer. Également appelée « assurance de loyers impayés », la GLI peut également couvrir, en fonction des options choisies et de l’assureur, les dégradations locatives, les frais de procédure engagés pour le recouvrement des loyers impayés, les coûts d’expulsion, ou encore les périodes pendant lesquelles le logement est inoccupé (vacance locative). Précisons que l’assurance loyers impayés concerne uniquement les locations à l’année. Il n’est pas possible de souscrire une GLI pour couvrir vos revenus liés à une location saisonnière, ou location de courte durée.

La GLI vise à sécuriser les revenus locatifs des propriétaires non-occupants.

Les atouts de l’assurance loyers impayés

Vous l’aurez compris, l’assurance loyers impayés comporte de nombreux avantages. En plus de voir vos revenus locatifs sécurisés par une compagnie d’assurance fiable et reconnue, la GLI vous permet de vous protéger des différents risques locatifs (squat, dégradations…). La GLI est également intéressante au niveau fiscal. En effet, la cotisation que vous payez à l’assureur est déductible de vos revenus locatifs si vous déclarez au régime réel. Si vous avez opté pour le régime micro, vous bénéficiez d’un abattement représentant forfaitairement toutes les charges. En outre, la Garantie des Loyers Impayés peut être souscrite uniquement si le locataire est solvable. Ce dernier doit pouvoir justifier d’une situation professionnelle stable et d’un revenu mensuel représentant au minimum 2,85 fois le montant du loyer. C’est normalement au propriétaire de s’assurer de la solvabilité du locataire en lui réclamant différentes pièces justificatives (pièce d’identité, avis d’impôt, bulletins de salaire…). Néanmoins si vous choisissez l’agrément, la compagnie d’assurance, comme c'est le cas pour Solly Azar, vérifie pour vous la validité des pièces et la solvabilité de votre locataire. La prise en charge de vos impayés est ainsi assurée.

En cas d’incident, la GLI couvre le plus souvent les impayés sur une période de 12 à 24 mois.

Comment bien choisir votre GLI ?

Comme nous l’avons déjà évoqué, les garanties de la GLI et les conditions d’indemnisation peuvent varier d’une compagnie d’assurance à une autre. Il est donc essentiel de comparer les offres de plusieurs assureurs pour choisir l’assurance correspondant le mieux à vos besoins. L’assurance loyers impayés étant déterminante pour sécuriser votre investissement locatif, le montant de la prime ne doit pas être le seul critère retenu. Représentant souvent entre 2 et 5 % du loyer mensuel, charges comprises, il varie principalement selon les garanties proposées. Un coût sensiblement plus attractif que la concurrence peut cacher une faible couverture ou un délai de carence élevé. Or, le délai de carence est important puisque c’est lui qui déterminera au bout de combien de temps l’assureur vous couvrira en cas d’impayés de loyers. S’il n’y a pas de délai de carence, la compagnie d’assurance interviendra dès le premier impayé. En dehors du délai de carence, soyez attentif aux plafonds d’indemnisation, aux différents frais annuels, aux options incluses, aux exclusions de garantie, ou encore aux montants de franchise. Pour conclure, ce n’est pas l’assurance la moins chère qu’il faut choisir mais l’assurance offrant le meilleur rapport « couverture-prix ».

Le niveau de couverture et les conditions d’indemnisation peuvent varier d’un assureur à l’autre.

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