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Acheter dans l'ancien ou le neuf : comment bien préparer son crédit immobilier ?

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Acquérir un bien immobilier, c’est souvent le projet d’une vie. Que l’on vise un appartement haussmannien à Paris ou une maison contemporaine en périphérie, une question revient toujours : comment financer son achat ? Avec un marché en perpétuel mouvement, bien préparer son crédit immobilier est devenu un passage obligé. Taux, budget, apport, démarches... voici quelques repères utiles pour que vous puissiez avancer sereinement.

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Couple qui travaille dans leur villa de luxe
Acheter dans le neuf ou l'ancien, le courtier peut vous aider à réaliser de belles économies. ©gettyimages
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Crédit immobilier : pourquoi passer par un courtier peut faire la différence ?

Vous vous apprêtez à signer votre prêt immobilier ? Notez que les taux changent sans cesse, chaque banque a ses propres conditions et les critères pour obtenir un crédit deviennent de plus en plus stricts.

Heureusement, vous pouvez faire appel à une entreprise spécialisée dans le courtage en crédits qui vous fera gagner un temps précieux et vous permettra généralement de réaliser de belles économies. Les courtiers se chargent de comparer toutes les offres à votre place, négocient les meilleures conditions pour vous et vous accompagnent pour vous aider à mieux comprendre le montage de votre dossier.

Pour poser les bases de votre projet et évaluer vos capacités avant même de solliciter un professionnel du courtage, calculez précisément votre crédit immobilier avec Empruntis. Cette simulation en ligne vous donne déjà une première estimation du montant que vous pouvez emprunter, de la durée et des mensualités.

Ancien ou neuf, quelles différences pour votre prêt ?

Votre choix entre l'ancien et le neuf influence directement les conditions de votre crédit et il est important que vous en soyez conscient dès le départ. Dans l’ancien, les prix au mètre carré sont habituellement plus accessibles. Mais, attention : vous devrez très probablement prévoir un budget travaux, parfois conséquent. La bonne nouvelle ? Certaines banques acceptent d'inclure ces coûts de rénovation dans votre prêt global. Le piège à éviter absolument est de sous-estimer le montant de vos travaux. Un chantier qui vous coûte plus cher que prévu peut rapidement déséquilibrer vos finances et vous mettre dans une situation délicate.

Du côté du neuf, vous allez faire des économies substantielles sur les frais de notaire (environ 2 à 3 % contre 7 à 8 % dans l’ancien). Cette différence vous permet souvent de conserver davantage de liquidités pour l’apport ou de garder une réserve financière plus confortable. Le neuf offre aussi des garanties constructeur et des performances énergétiques plus élevées, des arguments qui peuvent faire pencher la balance en votre faveur auprès des banques.

L’apport financier personnel, un levier important

Soyons honnêtes, il est aujourd’hui difficile d’obtenir un prêt sans apport. Les banques vous demanderont en général au minimum 10 % du prix de votre futur bien, ne serait-ce que pour couvrir les frais de notaire et de dossier. Mais voici le secret : plus votre apport personnel est conséquent, plus vous multipliez vos chances d'obtenir des conditions avantageuses.

Certains dispositifs peuvent aussi compléter votre apport : prêt à taux zéro (PTZ), prêt épargne logement, aides régionales... Un courtier saura vous orienter vers les solutions qui correspondent à votre profil.

La durée du prêt : trouver le bon équilibre

Emprunter sur 25 ans, c’est tentant pour alléger ses mensualités. Mais cela a un coût. Plus la durée est longue, plus le montant total des intérêts augmente. À l’inverse, un prêt sur 15 ans vous coûtera moins cher, mais demandera un effort financier mensuel plus important. Selon les dernières tendances du marché français, les taux fixes tournent actuellement autour de 2,75% sur 15 ans, 2,90% sur 20 ans et 3,15% sur 25 ans, pour des profils standards.

Concrètement, pour un emprunt de 200 000 €, cela représente environ 63 000 € d’intérêts sur 15 ans, contre plus de 120 000 € sur 25 ans. Le tout est de viser un juste milieu : un crédit qui reste gérable chaque mois, sans alourdir inutilement la facture globale. 

Dans tous les cas, pensez à vous projeter en vous posant certaines questions. Votre situation professionnelle est-elle stable ? Des projets personnels sont-ils à venir (enfants, déménagement, reconversion...) ? Ces éléments doivent être pris en compte dès le départ.

Préparer son dossier sans faux pas

Les banques examinent de près chaque dossier. Pour mettre toutes les chances de votre côté, vous devez présenter une situation financière claire : revenus réguliers, taux d’endettement raisonnable (idéalement en dessous de 35 %), gestion saine de vos comptes.

Quelques mois de préparation peuvent aussi faire toute la différence : épargner un peu, solder des crédits en cours ou consolider sa situation professionnelle sont autant d'atouts supplémentaires pour rassurer votre banque.

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